A la sortie du métro, nous nous dirigeons vers l’aire des taxis. Un employé de l’hôtel nous indique le premier véhicule, puis le deuxième… on ne veut pas nous prendre. L’employé revient vers nous. On doit prendre 2 véhicules. C’est sous la pression de l’employé que l’un accepte et l’autre baisse sa vitre pour en recevoir l’ordre. Bref, on comprend que l’on est étranger… et pas chinois.
On arrive à Venice Garden, l’un des deux lieux de résidence destinés aux étrangers dans les années 90. Le lieu est gardé, mais on nous laisse passer.
Anne et Jacques redécouvrent leur ancien logement, situé dans l’une des seules tours présentes dans ce « garden » où trônent de nombreuses petites villas disséminées autour de jardins et plans d’eau. On nous informe qu’il n’y a plus d’étrangers dans les lieux, tout étant occupé par des chinois, apparemment fortunés.