Comme d’habitude l’opération franchissement de toutes les étapes sécurité et autres contrôles est fastidieux. Une batterie est restée logée je ne sais où dans ma valise. On doit passer au« check » de la police, et ceci par deux fois vu que la première s’est révélée sans succès. Finalement je me souviens qu’une des batteries de mon Canon pourrait se trouver dans le sac à dos de promenade….
En se baladant ensuite dans les allées du hall, on est stupéfait de trouver un grand panneau d’information. A côté de celui-ci un grand écran où notre visage est scanné. En quelques secondes mon nom complet s’affiche avec toutes les informations relatives au vol, heure, porte… Fort la reconnaissance faciale!!! Mais aussi une démonstration des capacités de l’Intelligence Artificielle liée au potentiel des algorithmes. Au final peut-être aussi un moyen de montrer que cette technologie n’est pas liée uniquement à la surveillance des individus!
Dans l’avion, on nous donne une bouteille d’eau (au nom évocateur de « Bonneau ») et une sorte d’étouffe chrétien constitué d’un petit pain rond.
A la sortie du labyrinthe Quirenfou, on prend le bus pour l’hôtel.
C’est un peu la cata car la réceptionniste est dans le style tête à claques, et malgré moultes tentatives, aucun de nous réceptionne Internet. Bref, on est tous en rogne. Le lendemain le réceptionniste constatera de lui-même… et s’excusera!
Nous décidons de partir en repérage pour trouver la gare qui se trouve non loin de l’hôtel afin de calculer le temps nécessaire pour nous y rendre le lendemain matin. Puis nous flânons dans les rues proches de la gare où se trouvent stationnés d’énormes véhicules blindés à la recherche d’un endroit pour dîner.
